Le judo

Le but final du Judo est d’inculquer à l’homme une attitude de respect pour les principes de l’efficacité maximum et du bien-être et de la prospérité mutuelle,  et de le conduire à observer ces principes.

Le terme « JUDO » est composé de deux kanjis. Le premier, composé de neuf traits, signifiant souplesse, adaptation (), et le second, composé de 12 traits, la voie, le principe (), il peut être traduit par l’expression « la voie de la souplesse », ou principe de l’adaptation.

Le judo est un art martial et un sport de combat d’origine japonaise. Ce sport a été fondé par Jigoro Kano en 1882. Il se compose de techniques de projection, de contrôle au sol, d’étranglements et de clefs de bras. … Le judo se pratique pieds nus sur un tatami

Histoire

En observant les branches chargées de neige et voyant les plus grosses casser sous le poids de l’agresseur naturel et les plus souples s’en débarrasser en pliant, un moine japonais fit le constat suivant : le souple peut vaincre le fort.

S’inspirant de cette observation et des techniques de combat des samouraïs, Jigoro Kano posa en 1882 les principes fondateurs d’une nouvelle discipline : le Judo, littéralement « voie de la souplesse ».

En proposant un développement physique, moral et spirituel, le Judo permet aux judokas de s’épanouir en harmonie avec eux-mêmes et surtout avec les autres.

Le Judo, « voie de la souplesse », est une doctrine autant qu’une technique. Comme le Jujitsu, dont il est issu, il se pratique à mains nues et utilise scientifiquement la souplesse contre la force, en attaque comme en défense. D’après son fondateur, Jigoro Kano, il doit être compris comme une méthode d’éducation à la fois physique et mentale, en tant que facteur de progrès social et d’entente internationale.

Jigoro Kano, naît en 1860, à Mikage. Son manque de force physique suscite son intérêt pour le Jujitsu, alors décadent (nombre de professeurs s’exhibent en public pour de l’argent). Son premier maître de Jujitsu sera Hachinosuke Fuduka, élève de l’école Tenjin-Shinyo.

En 1882, il met au point sa propre méthode: le Kodokan-Judo. Le Jujitsu, arme de guerre, devient le Judo sport de combat.

Les débuts sont difficiles, mais en 1886 la rencontre organisée par le chef de la police de Tokyo entre les écoles Kodokan-Judo et Jujitsu-Totsuka démontre l’éclatante supériorité du Judo. C’est alors que d’autres écoles de Judo, comme le Butokukai, vont se créer. L’ascension est irrésistible: le Judo devient un sport scolaire obligatoire; en 1919, le Kodokan est reconnu comme institution nationale.

En 1934, Kano organise le premier championnat national de Judo. Son ambition est d’élever le Judo au rang de sport international. Il obtient l’attribution des 12e jeux Olympiques (1940) au Japon (mais la guerre s’opposera à leur déroulement). Kano meurt en 1938. Le Japon compte alors près d’un million de judokas.

A l’aube de la guerre de 1939-1945, reniant l’idéal de Kano, les dirigeants militaires vont faire du Judo un art belliqueux, mis au service d’un nationalisme étroit. Après la défaite du Japon, les arts martiaux sont interdits par les Américains, qui bientôt seront à l’origine du nouvel essor du Judo, prodiguant à leurs troupes l’enseignement des maîtres du Kodokan. Le Judo s’étend à l’Europe, à l’Amérique, à l’Asie, à l’Océanie, à l’Afrique du Nord.

En 1951, la Fédération internationale du Judo est créée. Le premier championnat du monde a lieu à Tokyo en 1956.

En 1960, le judo est inscrit au programme des jeux Olympiques.

Et le Judo s’exporte vers l’Occident…

A la même époque et à l’occasion de son premier voyage en Europe, en tant qu’attaché du Ministère de la Maison Impériale, le Maître Kano présenta, en 1889, une première démonstration de Judo à Marseille.

A son retour au Japon, il accepta comme élève personnel un certain Yakumo Koizumi, de son véritable nom Lafcadio Hearn (1850 1904), un célèbre écrivain américain d’origine irlandaise et grecque. En 1895, il publia, à Boston, le premier ouvrage occidental sur le Judo. Hearn était l’ami du président Théodore Roosevelt et il parvint à le convaincre de la valeur exceptionnelle du Judo.

Le Président invita donc, en 1902, Yoshiaki Yamashita, l’un des principaux experts du Kodokan, aux Etats Unis. L’intérêt du Président pour le Judo en fit assez rapidement une pratique à la mode dans les meilleurs milieux.

En Grande Bretagne plusieurs experts dont Miyaki, Yuko Tani et Uyenishi, connu sous le surnom de Raku, créèrent le fameux Budokwai Dojo de Oxford Street où, assez rapidement vinrent s’entraîner plusieurs français dont le lutteur Guy de Montgrilhard et le Maître d’Armes Jean Joseph Renaud.

Le premier, sous le pseudonyme de Ré-Nié, ouvrira en 1904 le premier cours de Judo-Jujutsu à Paris. Comme les premiers élèves du Kodokan, il relèvera de nombreux défis dont il sortira vainqueur… jusqu’au jour où il sera battu par un lutteur russe.

Suivant les annales du Kodokan, le premier Français ayant obtenu la fameuse ceinture noire au Japon est l’Enseigne de Vaisseau Le Prieur qui séjourna à Tokyo de 1908 à 1911. Ses activités de pionnier de l’aéronautique, il fut l’inventeur des fusées Le Prieur, copiées sur un modèle chinois, utilisées avec succès contre les dirigeables pendant la première guerre mondiale, ne lui permirent pas de consacrer suffisamment de temps au développement du Judo.

Il effectua néanmoins, à son retour en France, en 1911 plusieurs démonstrations spectaculaires et incita l’Etat Major à adjoindre des mouvements de Judo dans l’instruction des Officiers, parallèlement à la Boxe Française.

En 1924, un autre expert du Kodokan, Keinichi Ishiguro, crée plusieurs Dojo à Paris Mais c’est en 1933, sur la demande de Jigoro Kano alors en visite en France et sur l’invitation de Moshe Feldenkrais, animateur du Jujutsu (Jiu Jitsu) Club de France, que le fameux Mikinosuke Kawaishi donnera son véritable essor au Judo français.

Excellent technicien, fin psychologue, personnage à la fois attachant et énigmatique il formera, jusqu’à son retour au Japon en 1944, plus d’une cinquantaine de ceintures noires. Il sera, par exemple, l’inventeur des fameuses ceintures de couleurs désormais utilisées dans le monde entier et jusqu’au Japon. Le Kodokan n’utilisait, en effet, que les ceintures blanches, marrons et noires… Kawaishi Shihan, pour des raisons pédagogiques y adjoindra les couleurs jaune, orange, verte et bleue.

Il reviendra en France en 1948 et se fera assister, dès 1950, par un jeune expert du nom de Shozo Awazu qui sera à l’origine d’un Judo beaucoup plus sportif. Cette tendance sera encore accrue par Ishiro Abe, qui axera l’essentiel de son enseignement sur les techniques de compétitions.

Cela sera à l’origine de multiples scissions dans le Judo français et d’un grave conflit entre les  » traditionalistes « , représentés par le fameux  » Collège des Ceintures Noires « , et les  » progressistes  » de la Fédération Française de Judo. Depuis, hormis quelques rares anciens  » Gardiens de la Voie « , comme Michigami Sensei, le Judo résolument sportif, compétitif et olympique est totalement majoritaire.

En 1964, aux Championnats du Monde de Tokyo, le Hollandais Anton Geesink remportera la victoire finale sur Soné, marquant, en quelque sorte, le glas de la suprématie Nipponne.

Le Judo deviendra discipline olympique en 1972 et compte désormais plusieurs dizaines de millions de pratiquants de par le monde. Dans cette évolution, la France tire particulièrement bien son épingle du jeu puisqu’elle compte désormais plusieurs champions du monde dans les diverses catégories ainsi que de nombreux champions olympiques…

Code Moral

La politesse

 » C’est respecter autrui « 

Le courage

 » C’est faire ce qui est juste « 

La sincérité

 » C’est s’exprimer sans déguiser sa pensée « 

L’honneur

 » C’est être fidèle à la parole donnée « 

La modestie

 » C’est parler de soi-même sans orgueil « 

Le respect

 » Sans respect aucune confiance ne peut naître « 

Le contrôle de soi

 » C’est savoir taire sa colère « 

L’amitié

 » C’est le plus pur des sentiments humains « 

 
Lorsqu’il a créé le judo, Jigoro Kano voulait extraire du Ju-jitsu un moyen d’éducation du corps et de l’esprit « adapté à l’éducation de toute une nation ». Depuis sa création, l’enseignement du judo est accompagné de l’inculcation au judoka de fortes valeurs morales. Certaines valeurs du judo sont donc directement extraites du bushido. La plus connue d’entre elles est peut être le fait qu’on apprend aux jeunes judokas que c’est « mal » de fuir un combat (en effet, dans un entrainement de judo, lorsqu’un autre judoka vient vous demander d’être son partenaire pour un Randori, vous n’avez pas le droit de refuser, même lorsque vous savez qu’il est beaucoup plus fort que vous). Le respect et la confiance que l’on accorde à son adversaire lors d’un combat de judo sont primordiaux. En effet, lorsqu’un judoka fait chuter son adversaire, il doit garder le contrôle de sa prise, et la plupart des prises nécessitent de retenir son adversaire pour qu’il chute « correctement ». A défaut, l’adversaire pourrait être gravement blessé. Les armlock (clés de bras) pourraient facilement disloquer ou déboiter les articulations de son adversaires. Les étranglements, s’ils étaient mal exécutes ou mal maitrisés, pourraient eux aussi être très dangereux. Mais le respect et la confiance du judoka envers un autre judoka lors d’un combat sont absolus. Grâce à cela, et malgré la grande dangerosité des prises effectuées, le judo est l’un des sports où surviennent le moins de blessures et d’accidents. (De nombreux pratiquants n’ont jamais connu la moindre blessure, que ce soit à l’entrainement ou en compétition, et ce même après plus de dix ans de pratique régulière). Au judo, les valeurs morales sont plus importantes que la technique elle-même. Les nombreux saluts sont la marque la plus visible du respect qui régit le judo.

Les Techniques

Le judo sportif différencie explicitement :

  • Techniques de projection ou nage waza visant à déséquilibrer l’adversaire pour le faire tomber au sol, vers l’arrière, l’avant ou le côté. On retrouve différents groupes de techniques :
    • Groupe des techniques debout : tachi waza
      • techniques de jambes : ashi waza
      • techniques de bras (épaule) : te waza
      • techniques de hanches : koshi waza
    • Groupe des techniques de jeté de corps (souvent traduit par sacrifice) : sutemi waza
      • techniques de sacrifice dans l’axe : ma sutemi waza parmi lesquelles on retrouve la fameuse « planchette japonaise » (tomoe nage)
      • techniques de sacrifice sur le côté : yoko sutemi waza (dont les techniques d’enroulement : makikomi waza)
  • Techniques pratiquées au sol ou ne waza :
    • techniques de contrôle et d’abandon visant à dominer l’adversaire par neutralisation. C’est le katame waza dans lequel on retrouve :
      • techniques d’immobilisation : osae komi waza, qui s’effectuent lorsque l’adversaire est couché sur le dos, les deux épaules au sol (au contraire du système « jujutsu-fighting » où une immobilisation sur le ventre est comptabilisée).
      • techniques d’étranglement : shime-waza, qui peuvent porter sur le système respiratoire obligeant l’adversaire à abandonner rapidement (hadaka-jime par exemple), ou sur le système sanguin du cou (comme sankaku-jime), plus rapide à agir mais aussi plus dangereux.
      • techniques de luxation : kansetsu waza, portées uniquement sur le coude (comme ude-gatame et waki-gatame).

N.B. : Les techniques de luxation et d’étranglement sont également autorisées en position debout (en tachi waza), bien que très rarement vues et utilisées en compétition. En effet, le règlement interdit l’amenée au sol par ces techniques, ce qui les rend plus difficiles à placer.

  • Les katas
  • les coups de pied (geri),
  • les coups de poing (tsuki)
  • les coups du tranchant de la main (shuto).

Certains katas supérieurs nécessitent la pratique face à des attaques avec des armes traditionnelles japonaises, notamment la dague (tanto) et le sabre (katana).

Le Règlement

Le présent texte détermine, dans le respect des règlements de la Fédération Internationale de Judo, les règles techniques propres à la discipline judo-jujitsu, en référence à la loi relative à l’organisation et à la promotion des activités physiques et sportives.

ENGAGEMENT AUX COMPÉTITIONS


1. Participants

  • Participation : Un   participant   ne   peut   combattre   au   cours   d’une   même   journée   dans   deux compétitions différentes.
  • Sexe : Les combats de judo ne sont pas mixtes à partir de la catégorie benjamin et au – dessus : les hommes sont tenus de concourir avec les hommes, les femmes avec les femmes.

 

2. Certificat médical

En  application  de  l’article  L.231-2  du  Code  du  Sport, l’obtention  d’une  licence  d’une  fédération sportive  est  subordonnée  à  la  présentation  d’un  certificat  médical  datant  de  moins  d’un  an  et permettant  d’établir  l’absence  de  contre-indication  à  la  pratique  du  sport  ou,  le  cas  échéant,  de  la discipline concernée. Lorsque la licence sollicitée permet la participation aux compétitions organisées par une fédération sportive,  le  certificat  médical  atteste  l’absence  de  contre-indication  à  la  pratique  du  sport  ou  de  la discipline concernées en compétition. Les  modalités  de  renouvellement  de  la  licence,  et  notamment  la fréquence  à  laquelle  un  nouveau certificat est exigé, sont fixées par décret (3 années par décret ° 2016-1157 du 24 août 2016).  L’attestation  de  non  contre-indication  peut  être  portée  sur  le  passeport sportif  du  pratiquant,  avec date d’établissement, signature et cachet du médecin.

 

3. Surclassements d’âge et de poids

3.1 Compétitions individuelles

  • Les  surclassements  sont  interdits  pour  les  benjamins,  benjamines,  minimes  masculins  et féminins, les cadettes et cadets 1ere et 2eme année.
  • Pour  toutes  les  catégories  d’âges,  le surclassement  de  poids est  interdit  en  compétition individuelle.
  •  Les judoka minimes masculins et féminins, cadettes  et cadets, juniors masculins et féminins qui ont pris du poids entre deux niveaux de compétition, sont autorisés à combattre dans leur nouvelle catégorie de poids.
  • Les  judoka  minimes,  cadets,  juniors  et  seniors dont  le  poids  est  inférieur  au  minimum  des catégories dans lesquelles ils ont été inscrits ne sont pas autorisés à combattre.

3.2 Compétitions par équipes

Surclassement d’âge

  • Est  interdit  pour  les  benjamins,  benjamines,  minimes  masculins  et  féminins,  cadettes  et cadets 1ere et 2eme année.
  • Est autorisé pour les Cadets 3 ème année, juniors, seniors, masculins et féminins. Surclassement de poids
  • Est interdit pour les benjamins, benjamines, minimes masculins et féminins, cadettes, cadets.
  • Est autorisé pour les juniors et seniors.

Le double surclassement âge et poids est interdit (sauf pour les juniors dans les équipes seniors)

 

4. Engagements aux compétitions internationales

Les  engagements  aux  compétitions  internationales  se  déroulant  à  l’étranger,  organisées  par  des fédérations nationales officielles affiliées à la FIJ, se feront par l’intermédiaire de la FFJDA.

 

5. Compétitions sportives pour les Mini – Poussins(es), Poussins(es), Benjamins(es) et Minimes, Cadets, Juniors, Seniors

Afin de respecter les caractéristiques et  spécificités de ces tranches d’âge et pour participer à leur formation  progressive et  leur  épanouissement  sportif,  aucune  activité  de  compétition  individuelle ne pourra dépasser :

  • le niveau départemental pour les Poussins(es) (*1)
  • le niveau régional pour les Benjamins(es) (*2)
  • Les compétitions nationales sont interdites pour les benjamin(e)s

(*1) : le niveau départemental regroupe des clubs d ’un même département
(*2) : le niveau régional regroupe des sélections de départements Le  niveau  national  regroupe  pour  l’ensemble  du  territoire  national  des  athlètes  ou  des  équipes sélectionnés à un niveau intermédiaire.

Toute animation pour ces catégories d’âges devra faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès du  comité  départemental  à  l’aide  du  formulaire  correspondant. Le  règlement  précis  des  épreuves envisagées devra y être joint.

Nota : des dérogations exceptionnelles pourront être délivrées par la fédération délégataire.

 

RÈGLES TECHNIQUES

 MINI-POUSSIN(ES)

Cette  catégorie  est  constituée  par  les  enfants  nés  les  deux  années  précédant  la  catégorie poussin(es). Des rencontres sous forme d’expression technique ou randori arbitrés avec partenaire peuvent être proposées.

 

 POUSSINS(ES)

Les randori éducatifs se dérouleront en poule unique

  • Durée  du  randori  éducatif  :  1,30  mn  max.  3 randoris au  maximum  par  journée  (en  plus  de l’expression technique)
  • Récupération : au moins 3 mn entre 2 randoris éducatifs
  • Mixité possible (possibilité d’intégrer filles et garçons dans une même poule car il s’agit de randoris éducatifs et non de combats)
  • Grade minimum : ceinture blanc/jaune

 

BENJAMINS(ES)

  • Durée du combat : 2 min maximum
  • Récupération : 4 min minimum
  • Nombre de combats : 20 minutes maximum par journée
  • Activité non mixte (filles avec filles, garçons avec garçons)
  • Grade minimum : ceinture jaune/orange
  • Niveau  d’organisation  :  régional  au  maximum  (possibilité  de  rencontre  entre  des  sélections départementales)

 

MINIMES

  • Durée du combat : 3 min maximum
  • Récupération : 6 min minimum
  • Grade minimum : ceinture orange
  • Activité non mixte (filles avec filles, garçons avec garçons)
  • Niveau d’organisation : Interrégional maximum (pas de phase nationale)
  • Nombre de combats maximum par journée : 30 minutes

 

CADETS -JUNIORS-SENIORS

  • Formule de compétition Championnats < 9 combattants : poules < 9 combattants et plus : tableaux double repêchage
  • Durée du combat : voir règlement des compétitions
  • Récupération : voir règlement des compétitions
  • Grade minimum : ceinture verte

Les  seniors  qui  auraient  pris  du  poids  entre  deux  échelons  de  compétition  sont  autorisés  à changer de catégorie de poids.

TENUE DES JUDOKAS


Règlement général

Les  combattants  porteront  un  judogi  (tenue  de  judo)  et  un  ruban  (ou  une  ceinture)  blanc  ou rouge,  noué  au – dessus  de  la  ceinture  réglementaire.  Les  combattants  ou  les  membres  de l’équipe nommés en premier porteront la ceinture rouge et les seconds la ceinture blanche. Les judogi seront conformes aux règles de la FIJ ci-dessous. En ce qui concerne les dimensions réglementaires des judogi, une tolérance devra être appliquée par  les  arbitres  pour  les  catégories  des  cadets,  cadettes  et  les  compétitions  n’accédant  pas  au niveau national.

EXTRAIT DE LA RÉGLEMENTATION TIRÉE DU HANDBOOK DE LA FIJ Uniforme de judo (judogi)

1. Les combattants devront porter un judogi correspondant aux normes suivantes :

  • Confectionné avec solidité, en coton ou matière similaire, en bon état (sans accroc,ni déchirure).
  • De couleur blanche (ou de couleur bleue pour certaines compétitions de la FIJ, de l’UEJ ou de la FFJDA).
  • La  veste  devra  être  suffisamment  longue  pour  couvrir  les  hanches  et  suffisamment  ample pour  arriver  aux  mains  lorsque  les  bras  sont  tendus  le  long  du  corps.  La  veste  sera suffisamment  large  pour  permettre  de  la  croiser  au  niveau  de  la  cage  thoracique  sur  au moins  20  cm.  Le  bas  des  manches  de  la  veste  doit  arriver  au maximum  à  hauteur  de l’articulation du poignet et au minimum à 5 cm au-dessus de celle-ci. Un espace de 10 à 15 cm (y compris les bandages) devra séparer le bras sur toute sa longueur de la manche.
  • Les    pantalons,    vierges    de    tout    marquage,    seront  suffisamment longs pour couvrir les jambes et arriveront au maximum à l’articulation de la cheville et au minimum 5 cm au – dessus.
  • Une  ceinture  de  4  à  5  cm  de large  en fort tissu  sera  nouée par-dessus  la  veste  ;  cette  ceinture  sera  d’une  couleur correspondant  au  grade  du  combattant  et  sera  nouée  par un  nœud  plat au  niveau  de  la  taille  en  faisant  deux fois  le tour  de  celle – ci.  Les  pans  de  la  ceinture  seront  d’une longueur   de   20   à   30   cm.   La   ceinture   devra   être suffisamment  serrée  pour  éviter  que  la  veste  ne  sorte  de celle – ci.

 

RÈGLES TECHNIQUES

2. Les combattants devront se conformer aux réglementations suivantes :

Les  combattants  auront  les  ongles  coupés  courts  et  ne  porteront  aucun  objet  métallique, plastique ou autre matière qui pourrait blesser ou mettre en danger l’adversaire. Par objet métallique,  plastique ou autre matière, on entend tout objet dur incorporé directement ou indirectement dans les protections et qui pourrait causer une blessure (les protèges dents sont autorisés).

Exemple  : 

  • protège-tibia ou  jambière  avec  des  baleines. Le  fait  de  recouvrir  d’une matière  autocollante  ou  un  autre  objet  dur  ou  métallique,  telle  une  bague,  n’est  pas  considéré comme suffisant.
  • tout  combattant  qui,  de  l’avis  de  l’arbitre  et/ou  des  juges,  a  les  cheveux  d’une  longueur  qui risque de gêner ou de nuire à l’autre combattant, sera tenu de les fixer fermement à l’arrière de la tête.
  • les maquillages, bijoux (bagues, etc.) sont interdits.
  • les sous-vêtements ne doivent pas comporter d’armatures.
  • les  féminines  porteront  sous  la  veste  un  maillot  de  corps  long,  blanc  ou  presque  blanc,  à manches courtes, sans aucun marquage, maintenu dans le pantalon du judogi.
  • seul le dossard  officiel de la compétition à laquelle le judoka participe est autorisé. Ce dernier devra être enlevé à l’issue de ladite compétition. L’arbitre  devra  s’assurer  de  la  propreté  corporelle  des combattants.  Quiconque  se  présentera avec un judogi sale devra aller le changer. En cas de taches de sang sur le judogi, celui – ci devra être  changé  immédiatement.  Si  le  combattant  ne  peut  ou refuse  de  se  conformer  à  cet  article, l’arbitre déclarera son adversaire gagnant par « Fusen-gachi » (victoire par forfait).

 

3. Tenue et attitude des athlètes ou délégations dans les lieux de compétitions

Pendant les compétitions, les combattant(e)s seront tenu(e)s de garder à l’esprit que les arbitres dirigent la rencontre et accepter les décisions données par ceux-ci. A l’issue de la rencontre, les combattant(e)s doivent conserver une attitude digne quel que soit le résultat. Les manifestations de mauvaise humeur ou les démonstrations de joie intempestives ne sont pas une  attitude  digne  de  la  part  de  judoka.  L’observation  de  ces  règles  élémentaires  contribue  à maintenir l’image de marque du judo à laquelle nous devons tous être attachés.

 

ACCOMPAGNANT

L’accompagnant  devra  être  vêtu  soit  d’un  survêtement  complet,  soit  en  tenue  civile  correcte décente et appropriée (pas de judogi, pas de short ou tenue estivale). Le port de couvre-chef est interdit (casquette, chapeau…). Chaque  accompagnant  effectue  le  salut  au  début  et  à  la  fin  du  combat.  L’accompagnant  doit avoir un comportement responsable et irréprochable, sachant que son rôle consiste uniquement à conseiller son athlète. Il doit intervenir uniquement auprès de son combattant  entre  deux  «MATTE»,pas sur l’autre combattant. Il ne doit exercer aucune pression sur les arbitres.

SURFACE D’ÉVOLUTION


1. Cadets et plus âgés

a) L’aire de combat

L’aire de combat est divisée en 2 zones de couleurs différentes :

  • une zone de sécurité,
  • une surface intérieure.

Le total des 2 surfaces (aire de combat) sera au minimum de 6m x 6m et au maximum de 10m x  10m. Il est autorisé d’organiser des rencontres sur des aires de combat sans matérialisation de zone de danger sur des tapis de 6m x 6m au minimum et de 10m x 10m au maximum.

 

Surface de sécurité

La  surface  de  sécurité  est  au  minimum  de  3  m  autour  de  l’aire  de combat et de 3m entre deux aires de combat.

 

2. Minimes et plus jeunes 

a) Surface de compétition

Il est autorisé d’organiser des rencontres sur des aires de combat de 5m x 5m.

b) Surface de sécurité

Une surface de sécurité de 2m de largeur est autorisée tout autour des surfaces de combat.

MARQUAGE ET PUBLICITÉ


Réglementairement, la publicité ne doit en aucun cas être incitative.

1. Judogis

Les marquages doivent être confectionnés dans un matériau ne gênant en rien la pratique du judo (publicité et dossards). Un  dossard  (aux  dimensions  suivantes  :  30  x  30  cm)  fourni  par  les organisateurs  peut  être apposé au dos de la veste à 14 cm environ sous le bas du col. Dossard Le dossard devra être retiré à l’issue de la manifestation. Pour l’identification du club, du département, de la ligue, du pays, du continent ou autre, les lettres ne devront pas dépasser 11 cm en hauteur et 7 cm maximum de hauteur pour la publicité.

Nom du combattant

Le  nom  du  combattant  à  partir  des  cadets  (imprimé  ou  brodé…)  peut  être  placé  au  dos  de  la veste à 3 cm du bas du col en lettres de 7 cm, réparties sur une longueur de 30 cm maximum (8 lettres maximums ou moins). Pour les compétitions se déroulant sur le territoire français, le nom du combattant concerné est toléré également sur le bas de la veste du judogi et sur la ceinture.

Marquage

La  marque  du  judogi  (25  cm2)  pourra  figurer,  soit  sur  une étiquette de 5 x 5 cm sur le bas de la veste, soit sur le haut des épaules (un seul coté) à partir du col sur la bande de 25 cm de haut et de 5 cm de large réservée à une publicité de la même marque sur les deux manches. Une  publicité  est autorisée  sur  le  haut  des  manches;  elle  doit s’inscrire  dans  un  carré  de  10×10  cm,  une  publicité différente sur chaque manche est admise jusqu’au niveau Européen. La  publicité  est  autorisée  à  tous  les  niveaux  de  compétitions organisées  par  la  FFJDA.  et pour  toutes  les  catégories  d’âges. Elle  doit  respecter  la réglementation en vigueur. Un écusson ou emblème de la structure sportive que représente l’athlète, d’une taille maximum de 100 cm2 ou 10 x 10 cm est autorisé sur la poitrine côté gauche de la veste.

 

2. Survêtement (ou équipement sportif faisant fonction de survêtement)

Une  publicité  d’un  seul  annonceur,  localisée  sur  l’avant  de  la  veste  dans  une  surface  ne dépassant  pas  10×30  cm  et  dans  le  dos  entre  les  deux  épaules,  soit  une  ou  deux  lignes  ne dépassant pas au total 11 cm de hauteur ou dans un espace n’excédant pas 15 cm x 15 cm. Le nom de la marque, le sigle ou le logo du fabricant devra figurer sur les  survêtements tels que dans la production d’origine.

 

3. Tatami de compétition

Le nom de la marque, le signe ou le logo du fabricant peut être indiqués à deux emplacements différents sur la zone de  sécurité des tatamis. La surface de marquage ne doit pas excéder 2 fois  4  tapis.  D’autre  part,  nous  rappelons  que,  conformément  à  la  loi,  il  est  interdit  de  faire apparaître, sous quelque forme que se soit, sur le lieu d’une manifestation sportive, le nom, la marque  ou l’emblème publicitaire  des  produits  de  tabac  et  de  boissons  alcoolisées  ou  le  nom des  producteurs,  fabricants  ou  commerces  de  tabacs  ou  de  boissons  alcoolisées. Sont également interdites, toutes formes de publicités contraires aux statuts de la FFJ et à la morale sportive.

 

4. Hygiène

En cas de taches de sang sur le judogi, celui-ci devra être changé immédiatement.

PESÉES/TIRAGE AU SORT


1. Pesées et contrôles

La  durée  de  la  pesée  officielle  sera  précisée  par  circulaire  pour  chaque  compétition.  Les combattants  devront  être  au  poids  à  la  fin  du  temps  imparti  à  la  pesée.  Si  des  balances  de contrôle  sont  mises  à  disposition  des  combattant(e)s  pendant  la  durée  officielle,  une  seule pesée officielle peut être appliquée. Le  contrôle  des  passeports  judo  validés  et  des certificats  médicaux  sera  effectué  en  même temps. Aucune tolérance ne poids ne sera admise. Les   combattant(e)s   seront   pesé(e)s   en   sous-vêtements   (voire   nu(e)s   si   les   conditions l’imposent) dans un local aménagé à cet effet. Les ateliers de pesée ne sont pas mixtes (combattants et commissaires sportifs). La  pesée  aura  lieu  le  jour  de  la  compétition  sauf  autorisation exceptionnelle  délivrée  par  la FFJDA.

 

2. Tirage au sort

a) Modalités

Le  tirage  au  sort  doit  être  effectué  au lieu  et  date  précisés  par  circulaire  et  devant  les délégués. Seuls  les  noms  des  combattants  pesés  et  possédant  les  pièces  nécessaires seront  tirés  au sort. Le  tirage  au  sort  commencé,  aucun  nom  ne  pourra être  ajouté  sur  les  listes  des engagés présents. Aucune exception ne sera admise.

b) Éloignement

Les deux finalistes de la compétition de l’année précédente seront éloignés. Des  têtes  de  série  pourront  être  établies  par  le  comité  responsable  des  engagements (commission de sélection).

CONTRÔLES / TEMPS DE COMPÉTITION



TEMPS DE COMPÉTITION

Le  chronométrage  aura  lieu  en  temps  réel.  Le  temps  des  combats  devra  être  conforme  à  la réglementation. En individuel  et en équipe,  pour un combattant, le temps de repos entre deux combats sera au moins égal à  deux fois la durée du combat suivant sauf pour les juniors et seniors qui auront 10mn de repos entre deux combats  (règles FIJ).

 

SURVEILLANCE ET CONTRÔLES MÉDICAUX

a) Organisation des secours L’organisateur de toute compétition doit prévoir :

  • un  nécessaire  médical  de  premier  secours  et  un  emplacement  spécifique  en  vue  des premiers soins à apporter en cas d’accident,
  • un téléphone avec affichage à proximité des numéros d’appel du S.A.M.U., des pompiers, d’un médecin et du responsable de la salle ou du club.

b )Médecin d’organisation

Il  est  recommandé  à  l’organisateur  de  prévoir  la  présence  d’un  médecin  lors  de  la compétition. Celui-ci peut, s’il le juge nécessaire pour des raisons médicales, interdire à un combattant la poursuite  du  combat  ou  de  la  compétition.  Il  doit  dans  ce  cas  le  signifier  aux  arbitres  et  à l’organisateur de la compétition.

c) Examen médical

L’examen  médical  annuel  préalable  à  la  compétition  doit  comporter  un  examen  clinique complet  qui  s’attachera plus  particulièrement  aux  appareils  cardio-vasculaires,  locomoteur (notamment rachidien) et au revêtement cutané. Le   praticien   demandera   les   examens   complémentaires   que   l’examen   clinique   et l’interrogatoire auront rendu nécessaires. Conformément au code sportif de la FFJDA, le surclassement d’âge n’est pas autorisé sauf disposition particulière prévue au code sportif de la FFJDA. Le livret sportif individuel du judoka ne comporte aucune information médicale car soumise
au secret professionnel.

d) Contrôle anti-dopage

Des  contrôles  antidopage  intéressant  les  licenciés  des  fédérations  peuvent  être  opérés  à tout moment et plus particulièrement à l’occasion des compétitions officielles du judo – jujitsu et des fédérations affinitaires, multi-sports, scolaires et universitaires. Ces contrôles  sont effectués à l’initiative de l’Exécutif de la FFJDA ou des pouvoirs publics suivant les textes en vigueur.

Les prélèvements ou analyses sont réalisés sous le contrôle effectif des médecins mandatés par le Ministère chargé des sports et n’appartenant pas à l’organisation fédérale (suivant la procédure  prévue  au  règlement  de  la  FIJ).  Les  prélèvements  sont  cependant  effectués  en présence d’un membre de la FFJDA mandaté par l’Exécutif Fédéral. En  cas  de  contrôle  positif,  le  combattant  concerné  est informé  personnellement  par  lettre recommandée  avec  accusé  de  réception  de  la  FFJDA.  Il  a  la  possibilité  de  demander  une contre-expertise par examen du deuxième flacon de prélèvement.

Il doit pour cela en faire la demande  expresse  par  lettre  recommandée  avec  accusé  de  réception  adressée   au président de la FFJDA. La demande de contre-expertise doit être faite par le combattant incriminé dès réception de la  lettre  recommandée  l’informant  de la  positivité  du  contrôle  et  au maximum  dans  les huit jours qui suivent la réception. Dans  tous  les  cas,  l’examen  de  contre-expertise  doit  être  effectué  dans  les  90  jours  qui suivent la date du prélèvement.

Si  un  combattant  est  contrôlé  positif  lors  d’une  compétition  par  équipes,  seul  celui-ci  sera sanctionné et l’équipe complète sera déclassée de la compétition concernée. Sont  considérés  comme ayant  été  trouvés  positifs  les  combattants  qui  ont  refusé  de  se soumettre au contrôle. Les  entraîneurs,  directeurs  sportifs  et  toutes  personnes  qui  auraient  contribué  directement ou indirectement au dopage sont passibles des mêmes sanctions disciplinaires. Tout litige doit être soumis à la commission de discipline fédérale.

Les Ceintures

COULEURCEINTUREGRADESAGE MINI
Blanche6ème Kyu3 Ans
Blanche – Jaune7 Ans
Jaune5ème Kyu8 Ans
Jaune – Orange9 Ans
Orange4ème Kyu10 Ans
Orange – Verte11 Ans
Verte3ème Kyu12 Ans
Bleue2ème Kyu13 Ans
Marron1ème Kyu14 Ans
Noire1er Dan15 Ans
2ème Dan17 Ans
3ème Dan20 Ans
4ème Dan24 Ans
5ème Dan29 Ans
Blanche – Rouge6ème Dan
7ème Dan
8ème Dan
Rouge9ème Dan
10ème Dan

Les Catégories Ages – Poids

SAISON 2021-2022

Afin d’assurer des chances équivalentes aux combattants, les judokas sont répartis dans les compétitions selon des catégories d’âge et de poids. Retrouvez les catégories d’âge et de poids pour la saison en cours. Ces catégories permettent de regrouper les judokas lors des compétitions et nous permettent de regrouper nos judokas par cours.

Catégories d’âge

CatégoriesAnnée deNaissanceAge
Baby Judo2020 – 20212 – 3
Eveils2018 – 20194 – 5
Mini – Poussins2016 – 20176 – 7
Poussins2014 -20158 – 9
Benjamins2012 – 201310 – 11
Minimes2010 – 201112 – 13
Cadets2007 – 2008 -200914 – 15 – 16
Junior2004 – 2005 – 200617 – 18 – 19
Séniors20 et +
Vétérans+ 30 ans

  Catégories de poids

Masculin

Benjamins– 30 kg– 34 kg– 38 kg– 42 kg– 46 kg– 50 kg– 55 kg– 60 kg+ 66 kg
Minimes– 34 kg– 38 kg– 42 kg– 46 kg– 50 kg– 55 kg– 60 kg– 66 kg– 73 kg+ 73 kg
Cadets– 46 kg– 50 kg– 55 kg– 60 kg– 66 kg– 73 kg– 81 kg– 90 kg+ 90 kg
Juniors– 55 kg– 60 kg– 66 kg– 73 kg– 81 kg– 90 kg– 100 kg+ 100 kg
Séniors– 60 kg– 66 kg– 73 kg– 81 kg– 90 kg– 100 kg+ 100 kg

Féminin

Benjamins– 28 kg– 32 kg– 36 kg– 40 kg– 44 kg– 48 kg– 52 kg– 57 kg– 63 kg+ 63 kg
Minimes– 36 kg– 40 kg– 44 kg– 48 kg– 52 kg– 57 kg– 63 kg– 70 kg+ 70 kg
Cadettes– 40 kg– 44 kg– 48 kg– 52 kg– 57 kg– 63 kg– 70 kg+ 70 kg
Juniors– 44 kg– 48 kg– 52 kg– 57 kg– 63 kg– 70 kg– 78 kg+ 78 kg
Séniors– 48 kg– 52 kg– 57 kg– 63 kg– 70 kg– 78 kg+ 78 kg

Pesées et contrôles


La durée de la pesée officielle sera précisée par circulaire pour chaque compétition. Les combattant(e)s devront être au poids à la fin du temps imparti à la pesée.

Si des balances de contrôle sont mises à disposition des combattant(e)s pendant la durée officielle, une seule pesée officielle peut être appliquée. Le contrôle des passeports judo validés et des certificats médicaux sera effectué en même temps. Aucune tolérance de poids ne sera admise.

Les combattant(e)s seront pesé(e)s en sous-vêtements dans un local aménagé à cet effet. Les ateliers de pesée ne sont pas mixtes (combattants et commissaires sportifs). La  pesée aura lieu le jour de la compétition sauf autorisation exceptionnelle délivrée par  la FFJDA.á

Les Ligues

LA FÉDÉRATION

La Fédération française de judo, jujitsu, kendo et disciplines associées (FFJDA) est l’association sportive qui a pour but de promouvoir la pratique du judo et les disciplines associées composées du jujitsu, kendo, iaïdo, sport chanbara, jōdō, naginata, kyūdō, sumo et taïso. En France, elle fédère tous les clubs de judo et s’articule autour des ligues et des comités qui sont les Organismes Territoriaux Délégataires (OTD) de la FFJDA.

Site officiel : https://www.ffjudo.com


LA LIGUE

La ligue du Grand-Est est l’organisme délégué par la FFJDA qui s’occupe de la région Alsace. La ligue Grand-Est est chargé de définir une stratégie territoriale de développement du judo, jujitsu et des disciplines associées sur le territoire d’Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine. Par sa compétence, elle coordonne les organismes de proximité dans leurs plans d’action, elle mutualise et optimise les ressources humaines, administratives et financières de la région.

Site officiel : https://www.judograndest.fr/


LE COMITÉ

Le Comité Départemental du Haut-Rhin (CD68) est l’organisme délégué qui est chargé d’organiser la pratique et les compétitions départementales de judo sur le département . En relation avec tous les club du Haut-Rhin, il apporte son aide dans l’organisation des tournois sportifs et il est le relais de communication local pour la transmission des informations venant de la Ligue ou de la Fédération.

Site officiel : https://www.cdjudo68.com/